Pérou Machu Picchu Jeudi 2 Octobre

3H30 du matin, je me sens pas bien et suis obligée de me lever. 3h plus tard je n’ai plus rien dans le vendre et me sent incapable de bouger du lit. Laetitia m’oblige à aller au Machu Picchu. Je ne peux pas louper ça c’est l’une des 7 merveilles au monde ! Une fois au Machu Picchu je vomis toujours autant. Laetitia retourne m’acheter de l’eau pour m’hydrater pendant que moi je vais la queue pour Waynipicchu où il n’y a que 400 places pour jour. Je me retrouve la dernière à pouvoir passer nous montons la montagne en 1H30 au lieu de 40 minutes tellement je suis faible mais la résultat est incroyable. Sous nos yeux le Machu Picchu cette image restera sans doute marquée à vie dans ma mémoire. C’est tellement beau. Comment ont-ils fait ? voila la question. Nous discutons avec des français et l’un d’eux à l’impression de me connaitre. Après discussion, oui on se connait il est kiné au club d’athlétisme de Dijon ! Même sur le Machu Picchu on rencontre du monde c’est assez surprenant. Après plus d’une heure en haut en train d’admirer le travail des Incas nous entamons notre descente. Le français me propose son aide mais trop fière je refuse et redescends en 1H au lieu de trente minutes pour les autres. Mais ce n’est pas grave je l’ai fait ! Après un repas pour Laetitia et pour moi un coca et un bout de pain, il faut retourner visiter le Machu Picchu. Je me sens incapable de repartir et propose à Laetitia de prendre un guide pour elle toute seule. Elle décide donc de chercher un groupe. Le premier qui accepte, elle refuse car ce sont des anglais et ils sont vieux. Puis là c’est le choc au loin, un bel homme….. Laetitia craque, c’est un québécois ! Elle demande pour aller avec le groupe. Ils acceptent. Au moment du départ je me force à me lever et tampis je pars avec eux et quand j’en peux plus j’arrête. Au final je vais faire toute l’après midi et m’instruire beaucoup. La conquête espagnole, les moyens de communications, pleins de choses.

Allez un peu d’histoire. Pour communiquer les incas ne savaient pas écrire donc ils avaient des codes. Nous ne savons toujours pas s’ils signifient des lettre, des mots ou des phrases mais cela fonctionnait comme ça : Il y avait des fils attachés ensemble et il y avait des tailles, des épaisseurs de fils différentes. De plus sur les fils il y avait des nœuds différents qui pouvaient être espacé de manière différentes, il pouvait y en avoir plusieurs su un même fils. Les fils étaient de couleurs différentes et les fils étaient espacés de manières différentes. Au final cela faisait un message que seuls les nobles pouvaient comprendre. Voila pour la leçon ! Ensuite nous sommes redescendues aux aguas calientes pour prendre le train et ensuite le bus direction Pisac.